Il ne reste pas tant de véhicules au monde pour lesquels le démarrage est une question de vie ou de mort. Les dragsters à essence… et c’est à peu près tout sur cette liste. Pourtant, à l’époque, il y avait de nombreuses occasions de mourir en essayant simplement de vivre sa vie, comme le montre cette vidéo à 100%. Vous allez regarder un gars démarrer un tracteur Rumley Oil Pull et quand nous disons que vous ne croirez pas qu’il fait la procédure recommandée par l’usine… vous ne croirez pas qu’il fait la procédure recommandée par l’usine.
Les tracteurs Rumley Oil Pull ont été un peu un choc pour le marché quand ils sont sortis parce qu’ils utilisaient du kérosène comme carburant dans un monde peuplé de tracteurs à vapeur. Ces choses ont des moteurs avec des alésages de 10″ et des courses de 12″. Vous pouvez regarder des vidéos sur YouTube où vous pouvez réellement compter les tours lorsque le cylindre s’enflamme et que le piston revient au sommet de l’alésage. Dans ce cas, nous allons regarder comment un fermier de l’époque aurait démarré une de ces choses. Il n’y avait pas de démarreur électrique à cette époque, ni d’assistance pneumatique pour faire tourner le moteur. Le gars devait le faire lui-même.
Le conducteur du tracteur devait d’abord s’arrêter à plusieurs reprises sur une pédale qui injectait une énorme quantité de carburant dans le cylindre massif du moteur et après qu’il ait été satisfait de l’avoir fait correctement, la vraie folie commençait.
S’élançant sur l’énorme roue en acier avec des dents en acier, le gars devait ensuite se tenir SUR LA ROUE FLYWHEEL pour faire tourner le moteur et allumer le carburant. Le geste qui l’a gardé en vie a été de descendre à la seconde où le moteur s’est allumé pour ne pas être attrapé et projeté dans le Royaume Venu par la roue qui pesait deux à trois fois son poids.
Ce type donne l’impression que c’est facile. Imaginez faire cela par un matin d’automne glacial, essayer de faire démarrer la chose, s’assurer qu’elle n’a pas de vitesse (pas de commutateur de sécurité au point mort ici, imbécile !), puis sortir pour travailler pendant autant d’heures que mère nature le permet.
Les agriculteurs… les gens les plus durs qui soient.