Anywhere Aloha
OluKai
23 oct. 2014

©/sweetlifephotosQuand il s’agit de langue, Hawaii a un dialecte qui lui est propre – une alchimie d’influences hawaïennes, anglaises, japonaises, philippines, espagnoles, mexicaines et autres. Connue sous le nom de « pidgin », la façon unique et richement enracinée de parler de cet État peut donner lieu à des scénarios déroutants et souvent hilarants. Voici quelques-unes des meilleures erreurs de communication « made in Hawaii ». Lorsque je suis arrivé dans les îles, j’ai connu plus d’un fiascos dû à des énonciations hawaïennes et/ou à leurs interprétations. Voici quelques exemples de la façon dont j’ai appris que « ce que vous entendez n’est pas toujours ce que vous obtenez » – du moins ici à Hawaï.Leçon 1 : C’est « Brah » et non « bra »
À ne pas confondre avec la lingerie racée ou en dentelle, lorsque vous entendez le mot « brah » dans l’État d’Aloha, la seule chose intime à laquelle ils font référence ici est un frère ou un ami. Les seuls « brah » avec lesquels vous devriez établir un contact de poitrine sont les homies que vous serrez dans vos bras. Leçon 2 : « Grinder » implique de dîner, pas de danser
Là d’où je viens, « grinder » implique de sortir des mouvements chauds et sexy sur la piste de danse. Mais quand les Hawaïens des îles « grindent », vous pouvez parier que ces surfeurs et surfettes « chowing down » (avalent) de bons plats comme s’il n’y avait pas de lendemain.Leçon 3 : « Choke » est une quantité, pas un crime
Contrairement à la façon dont cela sonne, « choke » ne signifie pas une agression physique. C’est en fait le mot pidgin qui signifie  » beaucoup  » de quelque chose, plutôt que la façon dont vous aimeriez réagir lorsque vous découvrez que votre petit ami vous trompe avec votre meilleure amie. Mais je suppose qu’on peut utiliser les deux à la fois, et « choke that man choke, brah ! »Leçon 4 : « Brok’ Da Mout » n’est pas aussi violent ou douloureux qu’il n’y paraît
Lorsque j’ai entendu pour la première fois que le sandwich que j’allais manger était « brok’ da mout », je me suis demandé ce qui, dans ce curseur, lui donnait une description aussi menaçante – pour découvrir que le fait qu’il soit si délicieux était le seul critère pour obtenir une telle classification culinaire. Leçon 5 : Les « Dirty Lick’ns » sont testés par les enfants et approuvés par les mères
Surprenant, à Hawaï, les « dirty lick’ns » sont pour les enfants et par les parents. Plus précisément, il s’agit d’une fessée, et – désolé d’en décevoir certains – du type de celle que l’on trouve dans une crèche, pas dans une boîte de nuit. Leçon 6 : Se faire « Lei’d » implique de recevoir – plutôt que d’abandonner – des fleurs
Un lei hawaïen est une guirlande traditionnelle de fleurs ou de vignes généralement portée autour du cou et offerte aux proches, aux invités ou aux personnes honorées lors d’occasions spéciales ou de célébrations sur l’île. Leçon 7 : « Pu pu » ne signifie pas doo doo
Surnom hawaïen pour un apéritif, une collation ou des hors-d’œuvre, « Pu Pu » est synonyme de tapa espagnole et peut aller du fromage et des crackers aux chips et à la salsa ou aux sushis. Vous pouvez imaginer le soulagement de ce nouveau transplanté lorsque j’ai découvert que les « pu pus » étaient des choses délicieuses associées à des fonctions culinaires (et non corporelles) ! Si l’on met tout cela ensemble, si quelqu’un dit : « Hey brah, like grind ? Dey wen’ bust out choke pu pu pour dis’ party ! Le poki a cassé da’ mout. » Quelle que soit la langue que vous parlez, à Hawaï comme ailleurs, il suffit de dire que vous devez choisir vos mots avec soin, brah.-Andy Beth Miller

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