Le Southampton Animal Shelter est géré par la Southampton Animal Shelter Foundation (SASF), une organisation à but non lucratif 501(c)3 no-kill pet rescue and adoption center, qui s’occupe des animaux sans abri de la communauté de 22 villes de Southampton, New York, et les place dans des foyers permanents. Il est situé au 102 Old Riverhead Road West, Hampton Bays, New York. L’établissement abrite également un centre de bien-être vétérinaire à bas prix qui propose des chirurgies de stérilisation, des vaccinations, des soins dentaires pour animaux, des micropuces et plus encore.
En tant que refuge communautaire pour la ville de Southampton, la Southampton Animal Shelter Foundation (SASF) offre une variété de services au public pour les animaux de compagnie et ceux qui les aiment. Les programmes comprennent Advo-Cats, un garde-manger pour animaux de compagnie, une clinique vétérinaire mobile, etc. Le programme Advo-Cats a été mis en place pour aider à piéger, stériliser et relâcher les chats sauvages afin d’éviter une surpopulation de chats dans la communauté. Les chats sont vaccinés et subissent des tests de diagnostic pour s’assurer que la population est sous contrôle et en bonne santé. Depuis sa création, le programme Advo-Cats TNR de la SASF a permis de stériliser des milliers de chats sauvages.
La Southampton Animal Shelter Foundation a été créée en janvier 2010 pour reprendre le fonctionnement du refuge de la ville de Southampton, dans l’État de New York, qui avait dû cesser de le financer pour des raisons budgétaires. Susan Allen, fille de Herbert Allen, cofondateur de la banque d’investissement Allen & Co, en était la présidente.
Patricia Lynch, ancienne productrice de NBC Nightly News, a poursuivi le refuge en 2004 pour l’avoir bannie pour avoir écrit des lettres critiques à la presse locale sur la politique d’euthanasie du refuge à l’époque, et a obtenu 50 000 dollars de dommages et intérêts et 71 000 dollars de frais de justice. Sa victoire a été confirmée en appel en 2008. Plus tard, elle a de nouveau poursuivi le refuge, affirmant qu’on lui avait interdit, par dépit, de promener bénévolement ses chiens.